Mon premier roman !

[alaouet]

Salut les zakiens !

Vl'a t'y pas que l'aut' foué j'avions presque à l'insu de mon plein gré rédactionné une sorte de polar à la sauce armoricaine.

Ça s'appelle Les harengs de Ploucamor mais ça aurait tout aussi bien pu s'intitulationner OPA sur l'Anchois, Troudic a la patate, Sea, sex & cucurbitacée, Un Troudic à Ploucamor, Pissez pas sur le cornichon, Autant en emporte les andouilles, Mon cornichon sur la commode, Panick chez Troudic, Les Harengs du Destin, Géraldine à l'huile, Boulets au vinaigre, Ploucs en stock ou bien encore Le Trésor de Marcel Lanchois, voir même Touisteguenn à Ploucamor...

Brefle, tout ça pour vous dire que si le cœur vous en dit, vous pouvez télécharger cet impérissable chef d’œuvre en suivant ce lien http://www.multiupload.nl/VQQATOFKWI

Et histoire de vous zallécher, vl'a un extrait:

— Hmmm… hmmmm… hmmmmmmmmmmmmmmmm…
— Voyons mon p’tit Trouduc, fais don’ point ta chochotte… tu verras, c’est rien du tout… Tu sentiras rien… Avec cet épluche-légumes bien aiguisé, en même pas une heure, ce s’ra terminé…
— Hmmm… hmmmm… hmmmmmmmmmmmmmmmm…

et pour le même prix, vla zossi la couv'...



Bonne lecture aux zinconscients qui s'y risqueront :oups

[galettouille]

Je l'connais, je l'connais, ilésupaire!!!

Faut que vous le lisez le plus tôt possib!
:super

[pianovelo]

J'm'en suis allé l'téléchargeu, faut qu'j'trouve un zinzin pour le le rend' lisib', pis après on verra bin au rythm' que j'pourrai l'faire!

Bien à toi
Et j'espère que ma lettre vous trouvera de même

[azrael]

ben j'vais d'ce pas le teuleucharger, miladiou de miladiou.

[Semantix]

Bienvenue au "club" des scribouillards. Je rappelle à toutes fins utile que j'ai plongé moi aussi (dans un autre style) il y a déjà quelques temps. Voir ma signature pour en savoir plus.

(J'pofit d'l'ocas pour fer ma pomme aux scions :oups)

[azrael]

a yè , j'ai téléchargé et même lu, j'adore ce genre de délire, je suppose que tu connais bien Fédéric Dar, pour moi c'est un peu le même genre de délire.

Cordialement et admirativement

Serge

[Francois]

OK, direction la liseuse de ce pas, lecture à suivre.

[alaouet]

Chouette alors... posté pas plus tard que c't'aprèm, et déjà des victimes :oups

Bon, concernant le Galet', le bougre l'ayant déjà lu trois fois, je le dispense d'une quatrième séance (merci en tous cas Alex pour ton soutien )

@ Pianovelo
Pas besoin de zinzin particulier pour le lire, j'ai mis différents formats dans le pack (Doc, ePub et PDF).

@ semantix
Hey, m'en vais zieuter ça sans tarder !

@ azrael
Ha ben ça alors... chapeau l'ami ! Sitôt téléchargé, sitôt lu ! (bon ok, c'est encore plus court qu'un roman de Nothomb, mais quand même... :oups )
Très heureux que tu aies apprécié

@ François
Merci, et... bon courage...

[Invité]

A ba dam gast !! v'la ti pas que suici aussi, i' causerait ben comme par chez nous

[Francois]

Critique de livre par Yoda

Intitulé "Les harengs de Ploucamor", ce premier roman de François Troudic (hue !) s'inscrit dans la longue lignée des oeuvres devenus cultes avant même leur entrée dans l'inconscient populaire, et qui posent les questions essentielles de l'apophtegme oiseux. FT nous offre ici un véritable plaidoyer en 44 pages où la pensée et l’expression des affects sont irréductibles à leur expression langagière, appliquant ainsi les préceptes d'Ossip-Lourié dans son ouvrage "Le langage et la verbomanie : essai de psychologie morbide, F. Alcan, Paris, 1912". Le propos abordé ici tient donc dans cette tension entre l'expérience que l'on peut faire du langage vide et l'impossibilité logique apparente de celui-ci. L'étude de ce paradoxe doit nous permettre de montrer à quelles conditions et en quel sens il est parfois possible d'utiliser un langage sans pour autant transmettre un contenu informatif. D'ailleurs, Télérama ne s'y trompe pas, qui déclare : "F. Troudic démontre la maîtrise des concepts contradictoires, qui ne correspondent de ce fait à aucune chose concrète, au "nihil negativum" kantien, une application par le romancier de l'amphibolie des concepts de la réflexion, qui propose une analyse du concept de rien et définit le "nihil negativum" comme un objet vide sans concept. Le rien peut donc s'entendre en plusieurs sens, et le langage ne parvient pas toujours à en rendre compte". Mais c'est à Troudic lui-même, auteur à la renommée désormais assurée dans la partie septentrionale des Côtes d'Armor, à qui revient le mot de la fin lorsqu'il s'exclame "Y’a pas à dire, le génie humain, c’est quand même quelque chose". Comme le disait Boris Vian, "Faut que ça saigne". En voilà bien une démonstration magistrale, dans un livre à lire Dard Dard.

[alchemist]

Alaouet, gentil alaouet, alaouet, je te liserai

[joche]

Grâce a cette sortie littéraire de la rentrée, je vais pouvoir rentabiliser ma liseuse. J'ose espérer qu'une séance de dédicace virtuelle est dans le faisable. Merci Jean-Yves

[alchemist]

Excellent ! J'en veux un deuxième

[alaouet]

@ François
Alors là... cré vin diou d'boudiou d'bon sang d'bon souère.... ta critique m'a mis sur le fion, les quat' fers en l'air et l'pif dans l'fossé... je soupçonne fortement le cht'i ouiski que tu t'enquilles religieusement chaque soir d'avoir déclenché c'te jet impromptu... si ce n'est point l'cas et que tu étais à jeun, alors c'est pire.... j'ai le triste devoir de t'annoncer que tu es juste irrécupérable
N'empêche... si tu n'y vois point d'inconvéniance... j’incorporerais volontiers ta prose en préface d'une future V.2

@Joche
Je sais point si ça va la rentabiliser, mais ça ne risque guère d'en saturer la mémouère... :oups Pour la dédicace virtuelle, ce sera avec plaisir !

@alchimist
Fichtre... ainsi toi aussi tu l'as lu d'une traite et sans respirer ? C'est encourageant !
Pour la petite histoire, j'ai originellement écrit et publié ce machin sous la forme d'un feuilleton au rythme de plus ou moins un chapitre par jour. Mon idée de base - et je ne désespère pas de la concrétiser un jour - étant de l'enregistrer en feuilleton radiophonique.
Pour la version "bouquin" - celle que je vous aie livrée - certains lecteurs m'ont conseillé de peut-être intercaler une illustration entre chaque chapitre afin de rétablir autant que faire se peut cet eprit cliffhanger * inhérent au genre feuilletonesque.

* le fait de ménager un rebondissement presque à chaque fin de chapitre, art dans lequel excellaient les feuilletonistes du 19ème siècle, Michel Zévaco, Ponson du Terrail, Eugène Sue, etc.

[Francois]

Oeuf corse! Et sans ouiski.