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Une série d'émissions de France Culture en podcast, diffusé en été 2015, sur un sujet qui en intéresse plus d'un ici
C'est une vision France Culture, donc parfois un peu "hardcore" avec des extraits musicaux de musique concrète etc.... donc c'est plus "UNE" histoire que "L" histoire, mais j'ai trouvé ça intéressant.
La musique electronique a montré qu'une chanson peut surgir des voix d'un homme seul, enfermé dans son studio, devenu magicien du son autant que pur compositeur. Les musiques oscillent et cavalent jusqu'à la révolution que sera la musique synthétique de Kraftwerk dans les années 70.
C'est une vision France Culture, donc parfois un peu "hardcore" avec des extraits musicaux de musique concrète etc.... donc c'est plus "UNE" histoire que "L" histoire, mais j'ai trouvé ça intéressant.
"Parfois un peu "hardcore avec des extraits musicaux de concrète, etc... " En dehors, de la première émission "Ballets mécaniques", et dont le choix des illustrations musicales est bien équilibré - des bruitistes Luigi et Antonio Russolo aux Beatles avec Revolution 9 à Pierre Schaeffer ou Stockhausen - ensuite c'est plutôt "culture rock" avec notamment "les "hommes robots" du Bowie, Pink Floyd, Kraftwerk, du Neu avec l'excellent Hallogallo, Eno...
mais c'est dans l'ère du temps, Laurent de Wilde vient de sortir "Les Fous du son" qui au travers de portraits des inventeurs de la lutherie électronique retrace comme l'indique Telerama la saga de la musique électronique :
Le mot synthétiseur ne fait pas bondir de joie tous les mélomanes. On connaît des puristes du rock pour qui le boom de ces machines à sons dans les années 1970 et 1980 fut une abomination. Ces jours-
Oui ce n'était pas une critique, juste pour dire que c'était peut être moins "ludique" que le titre ne pouvait le laisser croire .
Et c'est le sujet sur le livre que tu mentionnes qui m'a remémoré cette série d’émissions.
Certes, mais on ne partage pas tous la même définition du ludique. Pour ma part, les débuts de la musique concrète, électronique puis électroacoustique font partie de ce que j'apprécie particulièrement, et bien plus que Kraftwerk auquel je préfère nettement Neu, pour ne citer qu'eux.
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