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  • #46
    Je suis un peu perplexe. Tu évoques le principe de faire du sérieux : que compte tu faire de précis qui règle le problème de la qualité logicielle ? Je pense qui si l'on avait une méthode efficace, cela se saurait. Ou plutôt, il doit y avoir des choses (aéronautique, spatial, nucléaire...), mais forcément ce n'est pas le même coût.

    Le seul point précis est la fermeture du système (une équipe projet unique, donc pas de plugin, une seule carte audio). Cela simplifie le problème, mais il reste néanmoins complexe.

    Si ton développement n'est pas complet du premier coup - et forcément, vue le principe de maximaliser les fonctions, il ne peut pas l'être - il y aura des mises à jour fonctionnelles avec des régressions qui vont avec. Sur certains processus, on peut automaiser des tests de non-régression (c'est l'état de l'art d'ailleurs), mais cela couvrira mal les interfaces graphiques.
    Dernière modification par floyer, 27 juin 2017, 22h16.
    http://www.sinerj.org/~loyer/piano/

    It's never too late to learn to play the piano. (tip of the day)

    Côté piano : Yamaha N1X, pianos VSL Syncron et Vienna Imperial, Garritan CFX, Bechstein Digital Grand, Ivory, Galaxy et beaucoup d’autres pianos virtuels - Côté synthé : Roland A-500 Pro, Native-Instruments Komplete 13, Arturia V Collection 9, Korg Collection 3, Air Music Technology plugins, OP-X Pro II, dexed (émulateur DX7 libre), Yamaha S-YXG50 - DAW : Reaper 6, Cubase Artist 9 - Interface audio : Steinberg UR22 - Casque : AKG K-702

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    • #47
      Je ne suis pas informaticien mais plutôt électronicien, je répondrai par logique un codage de programmation généraliste ou autres il y a bien plus spécialisé que moi sur le sujet et qui comprendrons aisément mes propos. Je ne m exprime très certainement pas très bien lexique technique oblige que je ne connais pas. Concernant la méthode elle existe très certainement mais il est très certainement bien plus lucratifs de laisser des failles imperfections de programmation , exemple nos appareils électroniques ont une obsolescence programmée, si il est possible de définir la mort programmée matériel il est tes certainement possible de trouver une solution efficace pour la quantité logiciel. Encore une fois il y a des sociétés qui maîtrisent ce genre de choses, il suffit de collaborer et d'échanger pour réaliser un outil de qualité fiable efficace avec un taux de qualité élevée. Le plus gros problème c'est de changer réformer la façon de fonctionner et l'état d'esprit. Nous avons toutes et tous à gagner en pensant collectif, ceci, est bon pour tout et dans tout. Unifier fait la force. Justement NON pas un système fermé que du contraire, seulement un seul système. Si des plug ins et tout le reste, mais, en simplifiant au maximum l'efficacité compatibilité performance fiabilité. Non pas vraiment dans le système dont je parle, il y aura bien évidemment des mises à jours la n est absolument pas le problème, le but des mises à jour il me semble c'est d'évoluer et non de régresser. Ça arrive avec un système actuel. Avec une unification par logique plus ce genre de soucis. Le parfait et l'excellence n'existe pas en soi, par contre, s'en approcher et la toucher oui plus que possible. Il faut déjà une approche volontariste positive. Il me semble que l'esprit humain peut faire des choses d'exception se dépasser quand il le veut. Nous sommes dans une époque benie technologiquement parlant, nous avons déjà des développeurs des sociétés de talent, donc, possible de faire du bon du très bon dans tout. La passion la volonté la motivation balaient bien souvent l'impossible. Les seules limites sont celles que l'ont s'impose bien souvent. En partant perdant et negatif, ç 'est clair que rien ne peut fonctionner et rien ne peut évoluer. Il est vrai JE suis un optisite de nature
      Dernière modification par trancer, 28 juin 2017, 06h34.

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      • #48
        Malheureusement, il n'y a pas de solution miracle ! Des approches existent (automatisation de certains tests de non régression - mais c'est l'état de l'art pour moi...), mais on ne couvre pas tout (pour les interfaces graphiques notamment). On peut avoir une revue de qualification qui entre dans chaque recoin du logiciel pour tout vérifier, mais on ne couvrira pas la combinatoire des états possibles. Le cas du logiciel Waves est un problème qui n'apparaît pas sur beaucoup de postes, et est de nature à passer au travers d'un plan de test sérieux. Là ou je travaille, on s'est contenté de "limiter" un déploiement d'un nouveau logiciel sur 7000 PC... en l'absence de problème identifié, le déploiement a été généralisé et cela n'a pas empêché des surprises.

        Pour les besoins les plus hauts en qualité, il y a aussi des approches de type vérification d'après des spécifications formelles, mais cela est extrêmement coûteux et ne couvrira vraisemblablement pas tout. On peut aussi pour les cas les plus pointus faire coder des fonctions 3 fois par des équipes différentes et lorsque le programme à besoin d'un résultat, il calcule les 3 valeurs et écarte celle qui sort du lot. Cela coute 3 fois plus cher, et le système est 3 fois moins performant.

        Le problème des régressions est inhérent aux évolutions. Tu as quelque chose de complexe, tu le modifies, il est donc difficile de garantir l'absence de regression. Cas typique : Arianne 5, où il on utilisé un code de calcul éprouvé dans un contexte différent de celui habituel... et on a perdu une fusée et sa charge utile. Toute modification sera de nature à changer le contexte du code environnant.

        C'est pour cela qu'invoquer "on fait du sérieux" n'arrive pas à me convaincre. Il y a certes des bonnes pratiques à appliquer (ceci-dit, certains environnements liés à la qualité logicielle sont couteux, et les déployer auprès d'une large équipe communautaire posera quelques problèmes de coûts de licences...), mais cela n'apportera qu'une aide et ne sera pas la solution à ton approche.

        Tu proposes de simplifier les histoires de plug-in, mais sans dire comment. Soit tu as un système qui a une bonne compatibilité (commatible VST par exemple), tu ne seras pas à l'abris d'un plugins qui sera développé et testé avec Cubase et posera des soucis avec ta solution. Soit tu résouds le problème en limitant ton système à une interface nouvelle, et du coup, cela force les développeurs à tester un minima avec cette nouvelle interface, mais du coup, tu te prives d'une multitude de plugins. Il n'y a pas de solution miracle. L'approche intermédiaire limite les risques : tu recenses une liste de plugins testés. Plugorama recense ainsi ceux qui fonctionnent sur Receptor: mais tu n'auras pas tout, loin de là.

        Une différence majeure entre l'électronique et l'informatique est la complexité. Dans un logiciel, tu as une combinatoire très importante, et tu n'arrives pas à tout tester. En électronique, on introduit généralement bien moins d'états mémorisés. (Cela n'empêche pas des difficultés : si tu additionnes deux signaux, cela peut saturer... et probablement plein d'autres que l'on n'a pas en informatique, comme la diaphonie ou autre), mais globalement, avec moins d'états mémoriser, tu as moins de tests.
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        • #49
          Jamais dit que solution miracle, par contre, fleurter avec le parfait est possible, prenons un exemple simple. Mac os x. Ici pas de guéguerre mieux que pc, un simple exemple. Si je ne le trompe Mac os x est basé sur un noyau linux, prenons le cas d'une installation par exemple de Nexus 2, l'installation ce réalise sans problèmes, tout comme l'installation des expansions. Un jeu d'enfant. Sur Windows, fichiers dll à placer dans bon fichier, avec Mac os x, il suffit de déposer sur le bureau et le tour est joué. Simple exemple, tout ça pour dire, que possible de simplifier et de ce fait installation plus simple car celle ci prise en charge par l'os. Quand je parle de sérieux, c'est que bien souvent, des synthés hards / virtuels et autres sortent pas toujours fini pour des raisons diverses et variées. Là ce n'est pas du sérieux. Un projet de développement unique engendre un brevet unique vu que basé sur le participatif / communauté. Comme déjà dit également les ténors du marché pourraient très bien réaliser ce projet. N'étant pas informaticien, je ne peux évidemment proposer une façon de faire, par contre, il y a des génies des gens de talents qui peuvent réaliser ce genre de choses, par exemple en prenant le meilleur et en le modifiant en évoluant vers une maîtrise de ce qui existe déjà mais en lui apportant les modifications nécessaires, afin, de peaufiner et de rendre encore plus performant et efficace le système. Je ne suis pas naïf, c'est un travail titanesque pour réaliser ce genre de projet, mais, il existe déjà de très bonnes bases de travail, il faut penser peut être déjà autrement et laisser parler ça passion. Beaucoup de solution se trouve non pas dans l'intellect, mais bien souvent quand on s'écoute. L'informatique est somme toute bien complexe, mais, il est très certainement possible de maîtriser un maximum certains paramètres pouvant approcher un système d'excellence. Concernant les risques le zéro n'existe pas, mais, en s'inspirant de certains développeurs, il est très certainement possible de réduire encore le risque pour arriver encore un peu plus vers une solution aboutie et de ce fait, un système approchant de l'idéal
          Dernière modification par trancer, 03 juillet 2017, 19h26.

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          • #50
            La base de MacOS est plutôt FreeBSD, croisé avec Mach (système de l'université Carnegie Mellon), et avec des pans revus par Apple (gestion des périphérique).

            Beaucoup de synthé virtuels s'installent tous seuls (setup.exe...). Validation des options par défaut, choix du disque (SSD si possible) et c'est bon. Les difficultés viennent de la gestion des licences (anti-piratage), mais souvent, il suffit de suivre la procédure.

            Cela marche car il y a une convention que beaucoup respectent (répertoire des VST). Et quand cela est moins direct, c'est parce que l'éditeur fait différent (Native Instruments crée son propre répertoire qu'il faut ensuite déclarer par ailleurs dans Reaper par exemple). L'OS n'y est pas pour grand chose. Évidemment c'est perfectible (Sous. Windows, on trouve 2 répertoires : un qui s'appelle VSTplugins et un autre qui s'appelle Steinberg\VST ... Steinberg aurait dû être plus directif). Mais si chacun joue le jeu, cela marche bien.

            Je n'ai pas eu de problème avec la grande majorité des pianos virtuels en ma possession. Du coup, j'ai du mal à reconnaître le manque de sérieux que tu constates. Il y en a : les écarts de niveaux de vélocité sur un Bechstein EWQL sautent aux yeux (enfin aux oreilles), et auraient dû être corrigés (et là, c'est plus du paramétrage que du développement), mais globalement, cela se passe bien. Et plus ton projet est important, moins tu pourras te prémunir de pan avec une telle sous-qualité (c'est plus un problème humain que technique). Et dans beaucoup de cas - tous les cas que j'ai cité dans un autre post - Le développement collaboratif n'y apporterais pas grand chose. En terme de transfert de connaissances, il ne faut pas rêver non plus : lorsque j'ai proposé à la communauté un pont entre LaTeX et TrueType (ttf2pk), le projet a été repris dans une perspective que je n'envisageais pas (prise en compte des polices asiatiques), mais la synergie a plus profité au projet qu'aux compétances respectives. Et forcément l'impact est limité au domaine. Sur cette plateforme MAO, il en sera de même car composé d'une multitude de sous-systèmes. Si un génie améliore la synthèse FM... et bien la synthèse granulaire à côté ne sera pas affectée. C'est ce qui me fait considérer les impacts limités.

            Pour vraiment définir un projet communautaire, il ne faut pas dire "ce serait bien si tout le monde s'entendait, etc", mais plutôt définir comment les acteurs pourrait avoir avantage à travailler ensemble. Tu parles de ténors donc des entreprises qui doivent payer leur employés. Je n'ai pas vu comment tu conçois les modalités économiques. Si Zplane a contribué à Cockos en apportant Elastique à Reaper, c'est simplement couvert par un échange financier. C'est plus simple à définir pour un composant identifié... pour une contribution plus diffuse, cela sera compliqué. En plus, le communautaire est ici mal défini : OpenSource complètement ? Il sera difficile de motiver des entreprises sur quelque chose difficile à vendre.

            Pour revenir à ton "brevet unique", tu l'as déjà : une distribution Linux (orienté MAO ou pas) correspond à la définition puisque conçu comme un assemblage de briques cohérentes avec le cas échéant la glue qui va autour, la qualification système (essentielle à la qualité que tu vises), etc. Il ne manque peut-être plus que suffisamment de monde pour atteindre une plus haute ambition, mais il ne tient qu'à toi de rejoindre le mouvement pour le faire tendre vers ton idéal.
            Dernière modification par floyer, 03 juillet 2017, 22h37.
            http://www.sinerj.org/~loyer/piano/

            It's never too late to learn to play the piano. (tip of the day)

            Côté piano : Yamaha N1X, pianos VSL Syncron et Vienna Imperial, Garritan CFX, Bechstein Digital Grand, Ivory, Galaxy et beaucoup d’autres pianos virtuels - Côté synthé : Roland A-500 Pro, Native-Instruments Komplete 13, Arturia V Collection 9, Korg Collection 3, Air Music Technology plugins, OP-X Pro II, dexed (émulateur DX7 libre), Yamaha S-YXG50 - DAW : Reaper 6, Cubase Artist 9 - Interface audio : Steinberg UR22 - Casque : AKG K-702

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            • #51
              Quand je parle de manque de sérieux, c'est concernant des produits non aboutis, mais qui sont mis quand même sur le marché pour différentes raisons. Ça ce n'est pas sérieux. Concernant le financier, il suffit de changer les mentalités et de réformer la forme de pensee le fric à tout prix. Ici je parle d'un projet par des passionnés pour des passionnés et non pour des financiers pour qui compte seulement le fric. Il y a des personnes qui ont quittés une entreprise pour un développer une autre, exemple de bitwig. Si plusieurs personnes de talent s'unissent pour développer un projet unique, chacun mets ses connaissances au service de l'autre et le projet prendra forme tout simplement. La question de fric viendra par la suite et concernant ce point qui semble si important, il sera bien vite comblé vu que les utilisateurs seront satisfait de ce genre de système. Comme déjà dit, pas les connaissances nécessaires en informatique. Ici, je parle d'une idée d'un système unique, afin, que toutes et tous puissent prendre du plaisir et le partager avec un outil efficace, fiable, performant, stable. Que faire de la musique soit avant tout de faire de la musique et non se prendrr la tête avec des soucis technique et / ou avec un système non abouti. Combien de personnes ont été découragées, pire, arrêtées totalement à cause de ce genre de problème récurent, pas mal il me semble. Ici je ne fais que de me dire qu'une système unique pourrait remédier à ce genre de problème. Mon idée est tout simplement qu'un jour il existe ce genre de développement pour que tout le monde puisse faire de la musique cette magnifique passion qui nous animes toutes et tous
              Dernière modification par trancer, 05 juillet 2017, 14h39.

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              • #52
                "Quand je parle de manque de sérieux, c'est concernant des produits non aboutis, mais qui sont mis quand même sur le marché pour différentes raisons. Ça ce n'est pas sérieux" Ça, cela une généralité... cela n'est pas mon ressenti global lorsque j'utilise des logiciels de MAO. J'ai dressé dans un des posts une liste de soucis que j'ai rencontré en terme de MAO, d'en faire l'analyse au cas par cas, et n'ai pas été convaincu par l'intérêt d'une approche globale comme tu l'entends pour chacun des cas comme je l'ai démontré. Si ton système est ouvert, tu ne pourras de toute façon pas empêcher des fournisseurs tiers de produire un plugin qui manque de qualité, et si ton système est fermé, il manquera d'intérêt.

                "Concernant le financier, il suffit de changer les mentalités et de réformer la forme de pensee le fric à tout prix." Je crois que l'on n'habite pas sur le même monde. Il se trouve que j'ai des créanciers (ma banque), des prestataires et fournisseurs (supermarché, plombier, EDF...) qui ne me font pas le cadeau d'un minimum de "fric" à la fin du mois. C'est triste - je suis sûr que sans métier, je pourrais "dépenser" plus de temps dans le logiciel OpenSource comme je l'ai fait lorsque j'en avais plus le loisir - mais c'est une réalité. C'est une position d'employé. Si un jour, je passe dans une position employeur, j'aurais des employés qui attendrons logiquement un chèque à la fin du mois. Tu parles de Bitwig. Il ne s'agit pas d'un logiciel phare au même titre que Cubase ou Ableton. Cela n'enlève rien à ses qualités - que j'ai reconnu par ailleurs - mais il y a moins d'économie d'échelle et les dirigeants sont "obligés" de penser fric pour ne pas être en liquidation judiciaire. Donc penser "fric" n'est pas facultatif ! Évidemment, ton propos est "fric à tout prix", ce qui est un peu différent. Après avoir essayé plusieurs produits (Cubase, Reaper, Studio One, Bitwig, et une multitude de VST), je n'ai pas eu l'impression de produits bâclés pour faire des économies, loin de là, du coup, j'ai franchement du mal à te suivre. Comme évoqué il y a des produits dont j'ai regretté l'achat, mais c'est loin d'être une majorité, et tu ne pourras pas l'empêcher avec un système ouvert (ou alors il faut m'expliquer comment, et avec plus de détails que l'aspect communautaire, ou le désintéressement financier).

                Tu proposes que des "personnes de talent s'unissent pour développer un projet unique"... Regarde Steinberg et son logiciel Cubase Professionnel avec sa multitude d'options, effets, instruments, ouverture VST pour les pans qu'il ne peuvent intégrer : c'est ce qu'il essayent de faire sans s'occuper de la couche matériel+driver+système d'exploitation. S'il ne le font pas, je pense que c'est par ce qu'ils ne pensent pas qu'il y a de marché. Le seul qui a essayé est -a ma connaissance - Muse avec ses Receptor. Système unique : tu achètes un Muse Receptor, et tu as un package complet hardware+OS et une multitude de plugins optionnels certifiés. Tu dis que le fric viendra par la suite... je me permets d'en douter car ils ont jeté l'éponge sur le matériel.

                "Que faire de la musique soit avant tout de faire de la musique et non se prendrr la tête". C'est ce que j'arrive à faire ! Tiens, là, j'ai besoin d'un CFX...dans Reaper : File / Project Templates / CFX Concert Grand... et je n'ai plus qu'à me mettre au piano ! Du coup, je ne suis pas - comme beaucoup - client de ta solution. j'attendrais, qu'elle intègre un CFX, un Bösendorfer, un Bechstein, un Steinway... pour éviter une régression. Et comme ce sont des clients comme moi sur lesquels tu compterais pour financer ton projet (et oui, dure réalité... les seuls qui sont bloqués par les approches actuelles ne suffiront pas!), la réalisation me semble assez compromise. Tu peux aussi proposer une machine préinstallée Cubase + driver + carte + VST qualifiés... cela reporte à ton niveau les éventuels soucis d'intégration. Pourquoi pas, mais si tu es le seul à penser que cela trouveras un marché, c'est à toi de créer ta boîte pour vendre la solution.

                Dans ton approche, les points qui importent le plus (à mon avis) sont :
                - l'installation automatique, mise à jour... un Windows Store ou un Apple Store semble être la solution - vu d'un problème technique, mais il est regrettable que leur promoteurs en profitent pour imposer leur vue (quote part sur les ventes, orientation technique imposée sous Windows avec UWP). Une approche tierce serait de bon goût, mais nécessiterait soit l'approbation des éditeurs tiers pour porter leur solution, soit un portage à ton niveau, un peu à la manière de Plugorama qui propose des packages Receptor.
                - la qualification système... Si tu as ton propre installateur et "Store", forcément, tu n'y mets que des produits que tu as qualifié (tu vérifies que l'installation et le fonctionnement marche avant d'ajouter un produit), ou tu demandes à tes partenaires de le faire (choisi les biens !).

                Techniquement, ce n'est pas insurmontable : beaucoup de solutions de télédéployement pour entreprise proposent d'une manière ou d'une autre la base de cette approche (mais ce sont des produits "ouverts", la qualification système est a ta** charge). La vrai difficulté est d'arriver à fédérer de multiples fournisseurs de VST pour que ta plateforme ait un minimum d'intérêt. Et je pense que c'est l'une des raisons pour lequel personne s'y colle (sauf Muse avec Plugorama pour ses Receptor, mais comme je n'ai pas accès à sa zone "déploiement", je n'ai pas un avis précis). Accessoirement, un peu de "glue" serait utile (on installe un driver, et automatiquement il est sélectionné dans Cubase), mais cela présente un intérêt marginal à mon humble avis.


                **ta charge : pas en tant qu'utilisateur, mais en tant que promotteur du projet.

                PS: J'ai du mal à cerner ton projet : un coup un système MAO complet (matériel + OS + DAW + Instruments virtuel), un coup c'est un méga synthé à deux claviers (Il y a déjà Wersi qui fait un orgue comme cela, et même à 3 claviers, mais pas d'ouverture sur des plugins tiers... Cependant, avec un orgue Wersi, tu as déjà de quoi faire) Du coup, je cerne mal !
                Dernière modification par floyer, 09 juillet 2017, 02h44.
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                It's never too late to learn to play the piano. (tip of the day)

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                • #53
                  Simple passage, je reviens au plus vite pour répondre

                  Une généralité, non pas vraiment. simplement un constat. Combien de fois, il y a des soucis de compatibilte entre le materiel et l'os, combien de fois y a t il des plantages divers et variés. Car les pilotes pas développés ou pas aboutis pour l'os. Je ne pense pas être le seul à avoir connu ce genre de deboir, tout comme des vst, plug ins qui plante le système. Ici, une simple constatation et un fait. Si tu as rarement rencontré ce genre de soucis, tu as eu bien de la chance. Quand je parmesan système unique, bien plus harmonieux, vu qu'un seul OS. Ici, développement pour trois différents. Mac os x, Windows et sans oublier Linux. Il y a une course effrénée de consommation et sur consommation. C'est un avantage pour nous, mais d'un autre côté, il y a tellement de modifications, de changement, que ce soit des os, daw, interface audio, que je le concède, pas toujours évident de trouver un équilibre de fonctionnement optimal entre tout ce beau monde. Avec un système unique de fonctionnement, il y a une cohérence tout simplement. Je veux dire par là, une mise à jour serait disponible quand la fiabilité maximum serait établie. Combien de fois, ne faut il pas lors d'une mise à jour, revenir à la version antérieure, car bugs. Quand je parle de fric à tout prix, quand même. Exemple pré-cité. Une marque sort un produit, pour ne pas être à la traîne, d'autres s'aligne ensuite, une produit arrive sur le marché, pour ne pas trop perdre de terrain. Avec une fonctionnalité relative et moins aboutie, qui doit trouver sa solution dans diverses mise à jour. Tu prends le cas de Steinberg et Tu parles de marché, donc, bien une question de fric. C'est du business, il faut que l'utilisateur paie, pour bien souvent pas grand chose en retour. Il y a des sociétés soucieuses de ces clients, mais très rare. Ici , je ne pense pas être le seul à penser à ce genre de solution, par contre, ceci étant une utopie au vu du monde moderne, beaucoup de personnes se résignent tout simplement. Tu as à première vue les compétences pour bidouiller, pas le cas de tout le monde. Mon idée est pour une catégorie bien plus importante que tu ne peux le penser, maintenant, il y a la logique commerciale, qui est bien l'opposé du bien, envie du consommateur. Sauf pour certaines sociétés je le répète. Ce que j'aimerai, C'est un peu ce que tu dis, une collaboration entre développeurs, afin, de générer une plate forme unique de travail, avec un protocole unique également. Ceci pour avoir un système compatible avec les différentes interface. Un daw, reprenant le meilleur de ce qui existe actuellement. Un exemple, Protools est bien un ou à été un standard de studio il me semble. Donc, l'idée d'un daw unique n'est pas totalement stupide. Ce n'est pas un coup ca ou autres, si tu lis mes messages, une solution de système, mais qui peut être tout autres, pas spécialement un double clavier. Ça pourrait être une unité centrale et y connecter des interfaces. Une tour, comme utilisé actuellement, qu'importe l'enveloppe extérieure, ce qui compte c'est l'intérieur et la façon de fonctionner du système
                  Dernière modification par trancer, 12 juillet 2017, 08h57.

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                  • #54
                    Tout ça pour dire, que ce n'est qu'une utopie bien malheureusement, ça serait une approche opposée à la façon de penser de nos jours. Difficile de faire changer les mentalités et d'avoir de ce fait une vision plus ouverte moins financières et plus passionnée. Je veux dire par là, guidée par l'écoute, le partage, l'échange, ce qui n'empêche de pouvoir en retirer un aspect financier, mais bien différent que celui ancré dans l'esprit actuellement

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                    • #55
                      Effectivement, j'ai déjà lu sur le forum des difficultés avec un driver... la solution que j'ai proposé était de prendre le dernier driver chez Yamaha, et cela a marché ! Mais tu peux aussi avoir une carte non soutenue... là c'est problématique. Je ne sais pas s'il y en a beaucoup parmi les marques usuelles (je ne parle pas des cartes à 30€ ou moins).

                      Le hic c'est qu'en développant un "système unique", on aura (au moins de façon transitoire) un système de plus. Ce qui n'arrange pas les choses en attendant que ta plateforme soit hégémonique. Je t'avoue que si le support de ma carte audio pour Windows s'arrête car le temps des développeurs serait mis côté Universalis, j'apprécierais moyennement.

                      Tu dis qu'avec Steinberg, on paye pour pas grand chose en retour. Je suis un peu surpris, Cubase AI marche suffisamment bien pour provoquer chez moi l'achat d'une montée de version. Et je n'ai pas l'impression de devoir bidouiller pour pouvoir le faire marcher. Des difficultés pour entrer dans un logiciel riche sûrement, mais comme Universalis se veut être un surensemble de tout ce qui existe, je ne m'attends pas à plus de simplicité.

                      Je ne comprends pas où tu veux en venir avec Protools. Il ont développé un standard d'intégration (AAX), mais l'approche est la même que Steinberg avec Cubase avec l'interface VST. (Si ce n'est que l'interface est reprise par d'autres DAW et a plus de succès aussi, mais cela ne change rien à l'approche de Steinberg qui semble comparable). Avec l'interface VST, le protocole unique entre DAW (Cubase ici) et le plugin, tu l'as. Que cherches-tu en plus ? Le protocole commun entre Cubase et le driver, tu l'as aussi, ASIO. Que cherches tu en plus ? (NB: Sur Mac, Apple propose l'interface : AU pour Audio Unit).

                      Tu évoques le problème de l'évolution trop rapide pour une stabilisation. C'est effectivement un (le) gros problème. D'un côté, si tu t'interdit des évolutions, le produit ne progressera pas, ce qui serait regrettable. La correction des bugs nécessite des évolutions (et non, le produit parfait n'existe pas... et même TeX qui était suffisamment fiable pour que l'auteur remercie ceux qui trouvent des bugs avec un chèque allant jusqu'à 300$, avait - et a probablement encore - des bugs... donc des opportunités pour récupérer un chèque de 300$ ). Une difficulté sur la plateforme dominante, Windows, est que tu ne maitrises pas le rythme d'évolution. C'est d'ailleurs une difficulté pour les entreprises : un cycle de mise à jour fonctionnelle tous les 6 mois pose des difficultés. (Il y a une version "Long-Term service branch" avec un cycle plus long, mais c'est plutôt pour les appareils tels que les distributeurs de billets et autres). Du coup, il y a un rythme que tu subis. (NB: tu as aussi les patch de sécurité plus fréquent et nécessaires pour tout ce qui est relié à Internet).

                      Peut-être devrais tu choisir le Mac : les mises à jour y sont manuelles il me semble. Sur cette base on peut avoir un intégrateur qui prend les mises à jour de différents contributeurs, vérifie que cela marche, et si c'est bon propose aux clients une liste de versions compatibles (voire un outil qui automatise la mise à jour du système qualifié). Avec cette approche, inutile de proposer une plateforme supplémentaire, ce qui aurait un surcoût. Je pense que le principe de l'intégrateur permettra plus facilement d'atteindre ce que tu souhaites sans tout chambouler avec le risque très élevé que cela ne prenne pas.

                      Cela ne résoudra pas tout : si un fournisseur arrête le support de son produit, tu pourras vérifier s'il marche ou pas. Mais si non, tu n'auras d'autre choix que de le retirer de la liste : quelque soit l'organisation, tu ne pourras pas forcer un acteur à rester. S'il tarde à fournir une version corrigée, tu devras soit le retirer de la liste des logiciels compatibles, soit retarder la sortie du projet. (Mais avec un logiciel adhoc d'intégration, le client est prévenu des risques ou problèmes avant la mise à jour et peut décider en connaissance de cause... c'est ce que l'on a avec des distributions Linux : en choisissant des mises à jour, le gestionnaire de packages indique parfois des incompatibilités).

                      Il faudrait aussi pour que cela marche, un protocole commun pour récupérer les mises à jour (là, chacun a son site, ce qui n'est pas pratique). (Il ne faut pas compter sur Apple pour cela : leur réponse est l'Apple Store et ses 30% de marge sur les achats, sans compter que seule la compatibilité avec l'OS est spécifiée pour chaque logiciel, mais c'est probablement là qu'il y a le plus de risque, même si on peut avoir des surprise au niveau des interfaces).

                      Si Universalis développe tout et est propriétaire de tout (tu n'as pas été précis sur la propriété d'Universalis... sur le périmètre : "tout" ?), et que la structure coule parce que les ventes ne sont pas au rendez-vous, le résultat pour le client sera un produit non soutenu (et de A à Z). En fait, je serais plus rassuré par le suivi des drivers de ma carte Steinberg que par celle d'une carte Universalis. (Mon piano de 2002 fonctionne bien avec Windows 10 et le driver de Yamaha qui est bien maintenu, Steinberg étant dans le giron de Yamaha, je pense qu'il y aura là aussi un bon suivi). Et pour "tout" développer, il faut convaincre "tous" les acteurs de participer selon tes conditions... cela sera délicat. Ainsi Intel verrouilait tout ce qui concerne la technologie Thunderbolt : validation des drivers par Intel avant publication. Ils ont récemment ouvert la technologie pour qu'elle ait plus de succès.

                      Des ententes entre entreprises existent (partenariat, GIE, coentreprise alias joint-venture), donc rien n'empêche les entreprises de se mettre ensemble. Mais il faut qu'elles y trouve un intérêt évidemment (que dirais-tu si ton boss te propose un autre job comparable, mais pour un revenu moindre ? Pour les entreprises, c'est pareil : pas de plus-value, pas de partenariat). Il faut aussi un minimum de confiance. J'ai lu dans l'atlas du management que l'association Fiat-GM avait échoué à cause du comportement de "passager clandestin" de GM qui "participait" donc pour récupérer les bénéfice avec un engagement insuffisant. Au delà des risques du projet (technique, ventes...), tu as celles liées à la participation de chacun. Pas aussi simple qu'un changement de mentalité. Même si tout le monde joue le jeu, chaque acteur doit commencer par négocier les termes d'un accord permettant d'éviter des mauvaises surprises (à l'image du contrat de travail que l'on signe avant de travailler. Là encore, les entreprises fonctionne comme nous !).

                      Au fait, quel est l'exemple précité qui sort des produits non aboutis (quel produit)?

                      Dans un des post tu évoquais une communauté pour obtenir plus de qualité. Je pense que simplement faire appel à un consultant spécialisé en qualité logiciel sera plus simple et plus efficace pour des aspects locaux (plugin, DAW ou driver). Évidemment, c'est un coup à récupérer un plan d'action lourd si l'on part de bas (mais on n'a rien sans rien). Si la "communauté" que tu as évoqué est souvent citée pour améliorer la qualité, c'est parce qu'elle permet d'avoir gratuitement une abondance de moyens, ce qui aide évidemment. Dans un projet ambitieux, risqué et avec un impératif de rentabilité (au moins que cela ne soit pas à perte!), les développeurs n'auront pas beaucoup le loisir de passer beaucoup de temps sur le code des collègues. Et puis, tous les projets communautaires ne se valent pas. Je me rappelle d'un gestionnaire de fichiers sous Linux qui m'avait fait n'importe quoi sous prétexte d'une espace dans les noms !! Je ne lui ai pas laissé une seconde chance. (On a désormais des gestionnaires de fichiers plus aboutis... heureusement). La "communauté" n'est pas une réponse ultime à un objectif de qualité.

                      Pour la qualité vue plus globalement, c'est l'intégration dont je t'ai parlé. Elle manque effectivement.

                      PS : Pour le suivi des drivers, il y a une approche hyper simple : faire du USB Class Compliant. Du coup, le driver est celui intégré à l'OS, maintenu compatible avec sans rien n'avoir à faire. Le hic, c'est que l'on ne gère alors pas les fonctions évoluées de certaines (routage, filtres intégrés, etc)
                      Dernière modification par floyer, 14 juillet 2017, 10h11.
                      http://www.sinerj.org/~loyer/piano/

                      It's never too late to learn to play the piano. (tip of the day)

                      Côté piano : Yamaha N1X, pianos VSL Syncron et Vienna Imperial, Garritan CFX, Bechstein Digital Grand, Ivory, Galaxy et beaucoup d’autres pianos virtuels - Côté synthé : Roland A-500 Pro, Native-Instruments Komplete 13, Arturia V Collection 9, Korg Collection 3, Air Music Technology plugins, OP-X Pro II, dexed (émulateur DX7 libre), Yamaha S-YXG50 - DAW : Reaper 6, Cubase Artist 9 - Interface audio : Steinberg UR22 - Casque : AKG K-702

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                      • #56
                        Tiens, en lisant cela http://www.audiokeys.net/forum/showt...avec-MainStage j'ai pensé à notre échange. Comme j'ai l'impression que le problème du Korg en audio USB existe sur Windows et Mac, j'ai l'impression (cela reste à vérifier) que le problème vient du Korg et qu'Universalis ne résoudra rien sauf en ajoutant un interface audio qui marche (et que l'on peut acheter dès aujourd'hui chez Focusrite ou autre). Et même si le problème vient du driver du Mac, le driver d'Universalis ne sera qualifié qu'avec sa carte, ce qui ne résoudra rien.

                        En discutant avec un proche chez un constructeur automobile, je lui ait posé la question de la coopération entre constructeurs lors de la définition d'une plateforme mutualisée. En gros (est-ce généralisable ?) on divise la plateforme en morceau, chacun sait ce qu'il a à faire, et des équipes en synergie travaillent sur les interfaces pour que l'ensemble soit cohérent. On est loin d'une grande équipe commune. (Et avec des acteurs comme GM cité plus haut - il m'en a fait part spontanément !!! - il vaut mieux se protéger).

                        Pour la gestion des packages, peut-être que l'avenir nous réservera des surprises. Avec Reaper, on a ReaPack qui fait le job pour les scripts Reaper. Un homologue pour VST voire drivers serait de bon goût. Steinberg pourrait le faire : c'est dans leur cordes en matière de programmation, ils ont une position importante qui pourrait être utile pour entraîner des fournisseurs tiers, cela pourrait donner une valeur à leur produit... il y a donc des facteurs dans le bon sens. En revanche, pour Steinberg, LE système est Cubase (tu en connais d'autres?), donc en cas de réalisation, on peut supposer certaines orientations (la liste des DAW supportés se limite aux versions de Cubase, le gestionnaire de package est livré exclusivement avec Cubase, etc.). Les "Store" Apple et Microsoft ne sont pas sans contrepartie (UWP imposé chez Microsoft, marge 30% pour Apple et Microsoft)... du coup, on peut supposer qu'un nouveau "Store" ne sera pas gratuit. Venant du monde Ubuntu / Debian, cela surprend un peu, mais après avoir vu 2 Store commerciaux, difficile de feindre l'étonnement..... À moins que quelqu'un s'y mette entre temps, mais si le volet technique est le plutôt simple, prendre son baton de pèlerin pour faire le tour et convaincre les grands fournisseurs en est une autre. Chaque acteur peut avoir un intérêt (un Store est un vecteur publicitaire), reste à convaincre qu'il faille faire un effort pour s'adapter à une règle commune. (Moins évident).

                        Si le gestionnaire de package est bien fait, il présente les éléments de qualification système (comme le fait Apple Store avec des apps indépendantes : compatible iOS XX), et sert d'aiguillon pour que les uns et les autres assurent la compatibilité entre versions. Reste à définir qui vérifie, avec quel moyens et à quel coût (c'est lié). Sur Apple Store, il me semble que c'est le développeur qui indique la compatibilité. Une qualification UNIX et décidée par un certificateur tiers (OpenGroup). Deux approches très différentes.
                        Dernière modification par floyer, 14 juillet 2017, 18h28.
                        http://www.sinerj.org/~loyer/piano/

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                        Côté piano : Yamaha N1X, pianos VSL Syncron et Vienna Imperial, Garritan CFX, Bechstein Digital Grand, Ivory, Galaxy et beaucoup d’autres pianos virtuels - Côté synthé : Roland A-500 Pro, Native-Instruments Komplete 13, Arturia V Collection 9, Korg Collection 3, Air Music Technology plugins, OP-X Pro II, dexed (émulateur DX7 libre), Yamaha S-YXG50 - DAW : Reaper 6, Cubase Artist 9 - Interface audio : Steinberg UR22 - Casque : AKG K-702

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                        • #57
                          Le but comme son nom l'indique est un système qui reprend le meilleur des daw actuels, ainsi que le meilleur pour le reste. Donc pas un systeme de plus, mais comme déjà dit le systeme. Concernant Steinberg, je ne pense pas avoir critiqué son mode de fonctionnement, simplement parlé et fait allusion à tes propos.

                          Cubase tout comme Protools sont des machines à gaz, certes, des plus complets, mais, pas toujours avec des mises à jour des plus intéressantes, des fois, plus de la maintenance. Pourquoi ca ne pourrait pas fonctionner, pas de raisons, car à la base développé par les ténors du marché, première hypothèse, la seconde, associée avec d'autres personnes qualifiées, donc pas de raisons que ça ne fonctionne pas. Vu que le meilleur de ce qui existe actuellement serait reoris, mais amélioré, testé avant mise sur le marché.

                          Comme plus qu'une seul plate forme, pour faire simple, un mix de Mac os x , Windows, Linux et si pas possible de trouver une base commune, prendre le meilleur des trois et réformer en un seul OS.

                          Concernant Universalis, tout c'est tout. Comme développement en partenariat. Pour le test, des gens spécialement formé et habilité à ce taf. Contrôle qualité et fonctionnalité, le produit, sort quand optimisé et fin prêt. Limitation des risques. Concernant le consultant, tu as raison, bien plus simple en effet. Quand je parle de communauté, en effet, participation de passionné et non rémunérée. Je pense qu'il existe encore des personnes qui sont animée par la passion et l'amour de la musique et qui ont une envie de collaborer pour aider l'autre et apporter son expérience et aures. Un MAGNIFIQUE exemple ici sur ce forum. Je ne pense pas qu'une rémunération est donnée aux Akiennes et Akiens. Il faut juste déporter cette energie participative à un projet autre.
                          Dernière modification par trancer, 17 juillet 2017, 08h48.

                          Commentaire


                          • #58
                            Tu prends l'exemple du korg, tu y apporte la réponse. Universalis résoudra tout, comme plate forme unique avec des interfaces étudiées et optimisées pour un seul OS, un seul DAW, avec un seul protocole ( USB ou autres ). Il y aura toujours du bénéfice et de la rentabilité, vu, que participatif pour les marques actuels et futurs. Pour les passionnés, toujours possible de devenir actionnaire du projet. Bien plus motivant pour celui qui veut une part du gâteau si ça passion n'est plus suffisante. Motivation supplémentaire, impliquer les gens.

                            Tu compartimentes, chacun ça spécialité, puis tu assembles le produit sous contrôle, la base du système. Tu prends les meilleurs pour chaque spécialité et développement et tu peux arriver à des résultats spectaculaires. L'histoire la montré, même, si le projet est des plus discutables, surtout sont utilisation. Ici je parle uniquement de compartimenter, rien de plus, je précise.

                            Je suis convaincu qye possible, il faut juste changer les mentalités. Il existe deja des collaborations entre les différents acteurs du monde musical, il suffit jyste d'étendre cette collaboration
                            Dernière modification par trancer, 17 juillet 2017, 09h03.

                            Commentaire


                            • #59
                              Dans l'exemple du Korg, tu as un protocole qui fait référence (audio / USB Class Compliant), un OS assez courant (MacOS) avec lequel cela marchait, et ensuite, cela ne marche plus.

                              Si Korg vérifie le comportement avec ta plateforme, cela sera OK jusqu'à ce que tu mettes à jour l'OS... et si personne ne met pas en oeuvre les ressources pour vérifier la non-régression, tu auras les mêmes surprises. Je n'ai d'ailleurs pas compris dans ta démarche, si tu compte vérifier la non-regression avec tout les équipements (ici un Korg, mais si tu souhaites l'exhaustivité, cela fait un paquet de matériel à acquérir), ou si tu comptes déléguer aux fournisseurs tiers (si Korg ne l'a pas fait pour les 2 OS Windows et MacOS, il ne le fera pas pour Universalis, ce qui me fait dire ici qu'Universalis ne résoudra rien dans ce cas précis).

                              -

                              Si tu vises une communauté bénévole, la bonne nouvelle est que tu as déjà des plateformes musicales (distributions Linux spécialisées MAO)... il n'y a plus qu'à y contribuer. Mais vu ma contribution en MAO libre (un caractère en trop retiré !), je me vois mal reprocher à qui que ce soit une mentalité pas assez contributive.

                              Tu regretteras qu'il y en ait plusieurs, mais souvent, les défauts trouvés concernent une brique commune à plusieurs distributions, et les corrections applicables d'un coup à chacune. L'énergie n'est pas aussi dispersée que l'on peut se l'imaginer.

                              -

                              Pour le meilleur de ce qui peut se faire (ce qui existe plus d'autres idées), chaque éditeur va dans ce sens, mais avec un critère "meilleur" différent, ce qui explique des produits différents et qui ne correspond à ce à quoi tu aurait révé.
                              Dernière modification par floyer, 17 juillet 2017, 12h01.
                              http://www.sinerj.org/~loyer/piano/

                              It's never too late to learn to play the piano. (tip of the day)

                              Côté piano : Yamaha N1X, pianos VSL Syncron et Vienna Imperial, Garritan CFX, Bechstein Digital Grand, Ivory, Galaxy et beaucoup d’autres pianos virtuels - Côté synthé : Roland A-500 Pro, Native-Instruments Komplete 13, Arturia V Collection 9, Korg Collection 3, Air Music Technology plugins, OP-X Pro II, dexed (émulateur DX7 libre), Yamaha S-YXG50 - DAW : Reaper 6, Cubase Artist 9 - Interface audio : Steinberg UR22 - Casque : AKG K-702

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                              • #60
                                Je pense que tu ne comprends pas totalement l'idée du conceot mon bon floyer. Ma plate forme ne vérifie rien elle est la plate forme. Le projet n'est pas une substitution un élément de réparation d'évaluation. Le système est le système et il prend le meilleur de tout et il évolue dans cette optique le meilleur. Concernant l'aspect non-régression, l'objectif est d'uniformiser un système unique. Le but premier est un système pour plate forme informatique, vst, interface audio et non du développement pour synthé. Avoir une base de travail avec des interfaces logiciels et matériels fonctionnant avec un OS unique protocole decommunication unique.

                                Comme deja dit pas les compétences en informatique mon domaine de prédilection étant plutôt électronique.

                                Je ne reproche rien, relis mes mots.

                                Si un seul concept, il est logique et évident que risque réduit de dysfonctionnement. Ici c'est la diversité qui rend le risque plus grand.

                                Je ne pense pas être le seul à rêver d'un système qui soit optimisé avec un risque minimum de plantage, incompatibilités diverses et variées, avec un développement des fois à la traîne. Simple constatation
                                Dernière modification par trancer, 17 juillet 2017, 11h57.

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