A mon cher Carlos.
Après 10 ans de vie commune, mon pote Carlos, Jack Russell de son état, a tiré ce matin sa révérence suite à un mal foudroyant et incurable. Il y a 5 jours encore, nous étions à Nîmes et rien ne laisser présager la suite.
Je t'avais récupéré à la SPA de Colmar puis on avait suivi ensemble l'éducation canine dans un centre spécialisé, tout le monde se fichait de toi car trop âgé, pas assez racé, un peu turbulent comme ton maître. Mais ta famille d'accueil avait confiance en toi. Et tu nous as tous épaté chaque jour, tu as scotché tout le monde même les plus médisants et les donneurs de leçons du départ.
Ce n'est pas grave, car c'était du pur bonheur et toujours cela de pris sur ton début d'existence difficile.
Finies les longues balades dans Colmar le samedi matin, les petits cafés dans certains établissements colmariens qui t'avaient accepté, tes longues et dynamiques séances de pateaugeage et natation dans la rivière, tes séances de bronzing dans le jardin, les voyages en voiture que tu affectionnais tellement, tes siestes apaisées quand je commençais à jouer du piano, tes petits "collé-serré" pour manifester ton attachement, tes séances de jeu avec ta fameuse balle, ...
Tu as été d'une dignité et d'une gentillesse exemplaires, jamais de plainte même dans les derniers moments.
Tu viens à présent de rejoindre le paradis des chiens.
Bien sûr, nous sommes très tristes même si ton esprit nous avait déjà quitté dès cette sournoise attaque.
Mais toute la famille est bien contente et particulièrement fière d'avoir pu faire un bout de chemin ensemble.
Ton maître.
Après 10 ans de vie commune, mon pote Carlos, Jack Russell de son état, a tiré ce matin sa révérence suite à un mal foudroyant et incurable. Il y a 5 jours encore, nous étions à Nîmes et rien ne laisser présager la suite.
Je t'avais récupéré à la SPA de Colmar puis on avait suivi ensemble l'éducation canine dans un centre spécialisé, tout le monde se fichait de toi car trop âgé, pas assez racé, un peu turbulent comme ton maître. Mais ta famille d'accueil avait confiance en toi. Et tu nous as tous épaté chaque jour, tu as scotché tout le monde même les plus médisants et les donneurs de leçons du départ.
Ce n'est pas grave, car c'était du pur bonheur et toujours cela de pris sur ton début d'existence difficile.
Finies les longues balades dans Colmar le samedi matin, les petits cafés dans certains établissements colmariens qui t'avaient accepté, tes longues et dynamiques séances de pateaugeage et natation dans la rivière, tes séances de bronzing dans le jardin, les voyages en voiture que tu affectionnais tellement, tes siestes apaisées quand je commençais à jouer du piano, tes petits "collé-serré" pour manifester ton attachement, tes séances de jeu avec ta fameuse balle, ...
Tu as été d'une dignité et d'une gentillesse exemplaires, jamais de plainte même dans les derniers moments.
Tu viens à présent de rejoindre le paradis des chiens.
Bien sûr, nous sommes très tristes même si ton esprit nous avait déjà quitté dès cette sournoise attaque.
Mais toute la famille est bien contente et particulièrement fière d'avoir pu faire un bout de chemin ensemble.
Ton maître.
Commentaire