J'ai vu le mot "poésie" inscrit dans le titre de la rubrique ...
alors, je me permets de vous déposer quelques textes
_________________________________________________
Sur le conseil de Jean-Yves, pour éviter une éventuelle recherche, j'ai regroupé ici les chansons que ces textes lui ont inspiré :
- Posté par Alaouet le 2 décembre : chanson "Permanence"
- Posté par Alaouet le 4 décembre : chanson "Eden"
- Posté par Alaouet le 9 décembre : Titre "Chanson pour femme"
- Posté par Alaouet le 15 décembre : Titre "Couleur café"
- Posté par Alaouet le 18 décembre : Titre "Dictée"
- Postée par Alaouet le 18 décembre : Chanson "à X..."
http://www.telefonica.net/web2/alaouet/a%20X....mp3
- Posté par Alaouet le 19 décembre : Titre "Qu'importe le ciel"
- posté par Alouet le 21 décembre : une chanson d'Edith : "Vois et viens"
- posté par Edith le 1 janvier 2010 : une chanson d'Edith : "T'ai-je assez dit"
Ces chansons sont également disponibles sur le myspace figurant dans ma signature (poèmes en clé de sol)
__________________________________________________ _________
Deux filles sont venues de l'union de nos sèves
allonger le chemin de notre destinée.
Chaque hiver qui se meurt voit un printemps qui lève
et colle ses bourgeons aux branches décharnées.
Nous ne sommes vraiment qu'un vulgaire épisode,
un nombre de saisons hâtivement comptées,
un passage, un goulot dans un mur qui s'érode
sous les intempéries d'un espace indompté.
Rien n'est jamais fini, la porte jamais close.
Le souvenir résiste aux heures écoulées.
Tout ce qui vit et meurt, que ce soit homme ou rose,
laisse un parfum traîner au sol qu'il a foulé.
je ne prendrais ni vin ni or
mais les mots et les sons qui montaient de nos gammes,
j'emporterais, chérie, dans les plis de mon âme,
les harmonies de nos accords.
Aussi beaux que soient les chemins
qui redorent de vie les Passants de la Mort,
mon cœur s'imprégnerait du bleu de ton décor
si je devais mourir demain.
Papy
alors, je me permets de vous déposer quelques textes
_________________________________________________
Sur le conseil de Jean-Yves, pour éviter une éventuelle recherche, j'ai regroupé ici les chansons que ces textes lui ont inspiré :
- Posté par Alaouet le 2 décembre : chanson "Permanence"
- Posté par Alaouet le 4 décembre : chanson "Eden"
- Posté par Alaouet le 9 décembre : Titre "Chanson pour femme"
- Posté par Alaouet le 15 décembre : Titre "Couleur café"
- Posté par Alaouet le 18 décembre : Titre "Dictée"
- Postée par Alaouet le 18 décembre : Chanson "à X..."
http://www.telefonica.net/web2/alaouet/a%20X....mp3
- Posté par Alaouet le 19 décembre : Titre "Qu'importe le ciel"
- posté par Alouet le 21 décembre : une chanson d'Edith : "Vois et viens"
- posté par Edith le 1 janvier 2010 : une chanson d'Edith : "T'ai-je assez dit"
Ces chansons sont également disponibles sur le myspace figurant dans ma signature (poèmes en clé de sol)
__________________________________________________ _________
PERMANENCE
Deux filles sont venues de l'union de nos sèves
allonger le chemin de notre destinée.
Chaque hiver qui se meurt voit un printemps qui lève
et colle ses bourgeons aux branches décharnées.
Nous ne sommes vraiment qu'un vulgaire épisode,
un nombre de saisons hâtivement comptées,
un passage, un goulot dans un mur qui s'érode
sous les intempéries d'un espace indompté.
Rien n'est jamais fini, la porte jamais close.
Le souvenir résiste aux heures écoulées.
Tout ce qui vit et meurt, que ce soit homme ou rose,
laisse un parfum traîner au sol qu'il a foulé.
NI VIN NI OR
Si je devais mourir demain,
ne plus jamais baigner mes yeux de matin blême,
ne plus noyer mon rêve au lit d'un café crème
incendiant le creux de ma main,
ne plus jamais baigner mes yeux de matin blême,
ne plus noyer mon rêve au lit d'un café crème
incendiant le creux de ma main,
je ne prendrais ni vin ni or
mais les mots et les sons qui montaient de nos gammes,
j'emporterais, chérie, dans les plis de mon âme,
les harmonies de nos accords.
Aussi beaux que soient les chemins
qui redorent de vie les Passants de la Mort,
mon cœur s'imprégnerait du bleu de ton décor
si je devais mourir demain.
Papy
Commentaire