Je pense que le sampling est indispensable, cela rend l'instrument plus ouvert. Il est dommage d'avoir un super synthé incapable de sampler ou, à défaut, d'importer de nouveaux samples. Les Ensoniq TS avaient bien cernés le problèmes, puisque même s'ils n'étaient pas capable de sampler comme leur cousin ASR, ils pouvaient en importer les samples.
Une fois les samples importés, aura-t-on la même qualité que les gros VSTi? ça dépend de plein de chose: des contrôleurs physiques en façade, des modes de jeu (cycle robin, par exemple, permettant de lire plusieurs samples voisins à tour de rôle, pour éviter l'effet mitraillette. Ou bien la possibilité de déclencher des articulations différemment selon le mode de jeu?) Le JP80 excelle là-dessus, mais...impossible d'importer ses propres samples, hélas. Ce n'est pas que Roland ne sait pas faire, mais simplement que la complexité de programmation aurait été très grande pour manipuler ses propres samples avec ce moteur. Il n'y a plus qu'à espérer de futurs upgrades de l'OS pour rajouter du son.
On notera aussi que les instruments VST ont souvent ce même défaut d'être fermés aux imports externes, sauf à acheter des extensions comme chez Spectrasonics.
Bref, plus c'est technologiquement compliqué, plus l'achat de sons externes est la solution, nos synthés dépassant maintenant les capacités de programmation de la plupart d'entre nous.
Pour ce qui est du séquenceur, un bloc note MIDI, je m'en sers quand je suis en vacances, ou quand je veux jouer de la musique où il y a du monde, pour avoir moins de fils et moins de bazars. Autrement, c'est Cubase, parce que plus simple à enregistrer, et surtout plus simple à éditer. J'use et j'abuse du replacement des notes à la souris. Je lis/relis en boucle les passages de ma séquence, jusqu'à ce que la mise en place soit parfaite.
Les séquenceurs MIDI avaient autrefois un gros avantage, celui de la résolution qui est depuis longtemps de 480 ppqn, là où les meilleurs workstations étaient à 96 et "quantizaient" d'origine sans qu'on leur demande. C'est désormais caduque, les séquenceurs MIDI des workstations ayant des résolutions à peu près aussi fines.
Un Cubase garde aussi quelques autres avantage: pouvoir utiliser des effets MIDI, des arpégiateurs, etc. Mais pour ce qui est du MIDI, il n'y a pas photo pour moi, le séquenceur sur ordinateur est imbattable. Quand les constructeurs de Workstations s'y mettent en ne proposant même pas de mode pas à pas, d'affichage à la note ou pas piste, ou pas de lectures de Paroles, ça me laisse encore moins de regrets.
Pour ce qui est de l'audio et des capacités des séquenceurs de nos workstations, je vois les choses autrement. Pour peu que:
- la workstation ait de bon préamplis, voire une alimentation phantom.
- qu'on puisse empiler quelques pistes
- qu'il y ait de la haute définition (du 24 bits notamment)
- qu'on puisse enregistrer avec certains effets (compresseurs notamment)
- que les capacités de stockage soient importantes.
...eh bien le séquenceur d'une workstation devient aussi très intéressant. On conserve les mêmes limites en termes de capacité d'édition, mais c'est quand même sympa de pouvoir enregistrer un chanteur, ou une guitare avec sa workstation. On peut même aller assez loin sur le travail de mixage des effets, sur l'automation.
Tout cela, le Kronos le propose de façon efficiente (sauf l'alim phantom). Je vois aussi le Fantom G qui, dans une moindre mesure, propose une bonne solution en la matière. Le Motif XS/XF, empêtré dans ses contraintes de mémoire, non, même s'il peut dépanner. Le JP80 n'a pas cette fonction, donc c'est réglé.
Yamaha a fait par contre un choix que j'aimais beaucoup, c'est le mode Remote permettant de "télécommander" Cubase depuis la façade du synthé. J'aimais beaucoup cette solution qui, bien nous contraignant à utiliser toujours l'ordinateur, permettait de tout piloter depuis sa façade de façon très souple et intelligente.
Une fois les samples importés, aura-t-on la même qualité que les gros VSTi? ça dépend de plein de chose: des contrôleurs physiques en façade, des modes de jeu (cycle robin, par exemple, permettant de lire plusieurs samples voisins à tour de rôle, pour éviter l'effet mitraillette. Ou bien la possibilité de déclencher des articulations différemment selon le mode de jeu?) Le JP80 excelle là-dessus, mais...impossible d'importer ses propres samples, hélas. Ce n'est pas que Roland ne sait pas faire, mais simplement que la complexité de programmation aurait été très grande pour manipuler ses propres samples avec ce moteur. Il n'y a plus qu'à espérer de futurs upgrades de l'OS pour rajouter du son.
On notera aussi que les instruments VST ont souvent ce même défaut d'être fermés aux imports externes, sauf à acheter des extensions comme chez Spectrasonics.
Bref, plus c'est technologiquement compliqué, plus l'achat de sons externes est la solution, nos synthés dépassant maintenant les capacités de programmation de la plupart d'entre nous.
Pour ce qui est du séquenceur, un bloc note MIDI, je m'en sers quand je suis en vacances, ou quand je veux jouer de la musique où il y a du monde, pour avoir moins de fils et moins de bazars. Autrement, c'est Cubase, parce que plus simple à enregistrer, et surtout plus simple à éditer. J'use et j'abuse du replacement des notes à la souris. Je lis/relis en boucle les passages de ma séquence, jusqu'à ce que la mise en place soit parfaite.
Les séquenceurs MIDI avaient autrefois un gros avantage, celui de la résolution qui est depuis longtemps de 480 ppqn, là où les meilleurs workstations étaient à 96 et "quantizaient" d'origine sans qu'on leur demande. C'est désormais caduque, les séquenceurs MIDI des workstations ayant des résolutions à peu près aussi fines.
Un Cubase garde aussi quelques autres avantage: pouvoir utiliser des effets MIDI, des arpégiateurs, etc. Mais pour ce qui est du MIDI, il n'y a pas photo pour moi, le séquenceur sur ordinateur est imbattable. Quand les constructeurs de Workstations s'y mettent en ne proposant même pas de mode pas à pas, d'affichage à la note ou pas piste, ou pas de lectures de Paroles, ça me laisse encore moins de regrets.
Pour ce qui est de l'audio et des capacités des séquenceurs de nos workstations, je vois les choses autrement. Pour peu que:
- la workstation ait de bon préamplis, voire une alimentation phantom.
- qu'on puisse empiler quelques pistes
- qu'il y ait de la haute définition (du 24 bits notamment)
- qu'on puisse enregistrer avec certains effets (compresseurs notamment)
- que les capacités de stockage soient importantes.
...eh bien le séquenceur d'une workstation devient aussi très intéressant. On conserve les mêmes limites en termes de capacité d'édition, mais c'est quand même sympa de pouvoir enregistrer un chanteur, ou une guitare avec sa workstation. On peut même aller assez loin sur le travail de mixage des effets, sur l'automation.
Tout cela, le Kronos le propose de façon efficiente (sauf l'alim phantom). Je vois aussi le Fantom G qui, dans une moindre mesure, propose une bonne solution en la matière. Le Motif XS/XF, empêtré dans ses contraintes de mémoire, non, même s'il peut dépanner. Le JP80 n'a pas cette fonction, donc c'est réglé.
Yamaha a fait par contre un choix que j'aimais beaucoup, c'est le mode Remote permettant de "télécommander" Cubase depuis la façade du synthé. J'aimais beaucoup cette solution qui, bien nous contraignant à utiliser toujours l'ordinateur, permettait de tout piloter depuis sa façade de façon très souple et intelligente.
) le bloc note de luxe! (comme l'on dirait dans le Midi... ...et avec le Midi :oups 
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