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C'est sans doute le fait de réécouter pas mal de Tangerine Dreams, Peter Baumann & Cie ces derniers temps qui m'a inspiré ce morceau.
L'idée étant de reproduire au piano des sensations généralement plus liées à des instruments synthétiques.
C'est assez intéressant à explorer et très agréable à jouer, une sorte de transe s'installe, et je pense que ce morceau va sans doute évoluer à mesure que je le jouerais régulièrement au boulot :-)
Le style synthétique est bien réussi et déroutant par rapport aux autres œuvre de piano. L’approche est intéressante.
Je note que tu joues au boulot… quelle chance ! J’imagine la tête de mon employeur si j’amenais un clavier… (même si mol chef fait aussi de la musique).
Honnetement, fais quand même attention que tout le monde ne s'endorme pas au travail si tu joues ce morceau. J'ai fermé les yeux au bout de 2min environ et je me suis réveillé à la dernière note ! Véridique ! C'est joli et bien joué mais la transe joue à plein.
Je note que tu joues au boulot… quelle chance ! J’imagine la tête de mon employeur si j’amenais un clavier… (même si mol chef fait aussi de la musique).
Moi c'est plutôt si je ne jouais pas de musique au boulot que mes employeurs feraient la gueule :-)
Je joue du piano dans des hôtels et, selon l'affluence et le type de clientèle, je m'arrange toujours pour essayer de passer quelques compos persos au cours de mes sets :-)
Mais bon, concernant ce morceau en particulier, je profiterais des moments où il n'y a personne car je ne voudrais pas risquer d'endormir tout l'auditoire à l'instar de MamieNova
Excellent alaouet !
Une idée serait de modifier très progressivement et subtilement la pattern de base, un peu comme le fait Glass, c'est-à-dire non pas de passer immédiatement d'une pattern à une autre mais de progresser sans cesse à travers les variations, sans revenir à la pattern initiale.
"Dans un documentaire, c’est Dieu le metteur en scène. Dans un film de fiction, c’est le metteur en scène qui est Dieu."
"La durée d'un film devrait être directement liée à la capacité de la vessie humaine."
"L'auto-plagiat, c'est le style."
"La vie, ce n'est pas seulement respirer, c'est aussi avoir le souffle coupé."
...
Alfred Hitchock.
Oups ... je suis désolé alaouet, j'ai changé de mail ... je t'écris un MP
"Dans un documentaire, c’est Dieu le metteur en scène. Dans un film de fiction, c’est le metteur en scène qui est Dieu."
"La durée d'un film devrait être directement liée à la capacité de la vessie humaine."
"L'auto-plagiat, c'est le style."
"La vie, ce n'est pas seulement respirer, c'est aussi avoir le souffle coupé."
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Alfred Hitchock.
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