Le muisicien indien Ravi Shankar est décédé. Pour ceux qui souhaiteraient découvrir une excellente et longue prestation scénique et hypnotique de ce dernier, je conseille le film Monterey Pop tourné par D.A. Pannebaker et qui retrace les trois jours du festival durant lété du Flower Power en 1967. C'est un excellent témoignage sur la musique de l'époque, sur cette année 1967, de son extrème vitalité, qui fut riche en découverte, en exploration musicale. le Quicksilver Messenger Service, le jump de l'Electric Flag, les Byrds avec cette tonalité si West Coast, avec leur soleil dans la musique tout comme dans le "Somebody to love" du Jefferson Airplane
Pannebaker filme ainsi les passages devenus mythiques de Jimi Hendrix, des Who qui doivent en faire plus après le passage d'Hendrix, celui de Janis Joplin (sa prestation sur Ball & chain à tomber par terre), d'Otis Redding (sublime) et de Ravi Shankar accompagné au tabla par Alla Rakha et Kamala au taboura.
Je ne saurais trop conseiller le coffret "The Complete Monterey Pop Festival) avec ses trois CD, avec pour le premier le film, le second sur les concerts de Hentrix et d'Otis Redding, et le troisième sur des passages qui n'ont pas été retenus sur le montage final de Monterey Pop. Il y en a d'excellents comme celui de Blues Project avec cette étonnante improvisation pour l'époque du soliste à la flûte et qui joue avec maîtrise avec l'écho, le passage de Simon & Garfunkel tout en grâce vocale, l'excellent Country Joe and the Fish, celui de l'organiste Al Kooper, le blues du Paul Butterfield Blues Band, une très rare prestation de Buffalo Springfield avec leur fameux "For What it's Worth" que j'ai toujours trouvé magique, la prestation des Who où ils jouent notamment leur mini opéra rock "A quick One While He's Away" (que l'on peut voir et écouter aussi sur le Rock'n'Roll Circus des Stones). Ca montre d'ailleurs la diversité des Who et le goût de Peter Townshend pour un concept plus large qui se traduira plus tard par Tommy. Ce CD se termine avec The Mamas and the Papas.
PS : détail amusant, mais on remarque la primauté dans l'ensemble des prestations de la guitare Gibson SG. Tout comme, dans le triple albums The Last Days of Filmore l'importance de l'orgue Hammond.
Pannebaker filme ainsi les passages devenus mythiques de Jimi Hendrix, des Who qui doivent en faire plus après le passage d'Hendrix, celui de Janis Joplin (sa prestation sur Ball & chain à tomber par terre), d'Otis Redding (sublime) et de Ravi Shankar accompagné au tabla par Alla Rakha et Kamala au taboura.
Je ne saurais trop conseiller le coffret "The Complete Monterey Pop Festival) avec ses trois CD, avec pour le premier le film, le second sur les concerts de Hentrix et d'Otis Redding, et le troisième sur des passages qui n'ont pas été retenus sur le montage final de Monterey Pop. Il y en a d'excellents comme celui de Blues Project avec cette étonnante improvisation pour l'époque du soliste à la flûte et qui joue avec maîtrise avec l'écho, le passage de Simon & Garfunkel tout en grâce vocale, l'excellent Country Joe and the Fish, celui de l'organiste Al Kooper, le blues du Paul Butterfield Blues Band, une très rare prestation de Buffalo Springfield avec leur fameux "For What it's Worth" que j'ai toujours trouvé magique, la prestation des Who où ils jouent notamment leur mini opéra rock "A quick One While He's Away" (que l'on peut voir et écouter aussi sur le Rock'n'Roll Circus des Stones). Ca montre d'ailleurs la diversité des Who et le goût de Peter Townshend pour un concept plus large qui se traduira plus tard par Tommy. Ce CD se termine avec The Mamas and the Papas.
PS : détail amusant, mais on remarque la primauté dans l'ensemble des prestations de la guitare Gibson SG. Tout comme, dans le triple albums The Last Days of Filmore l'importance de l'orgue Hammond.
. Rip.
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