Musicalement, il y a peanuts à se mettre sous la dent, sinon deux ou trois secondes d'un groove très électronique qui n'est pas sans rappeler Deeper Underground, vers la fin. Dormez pas, ça passe vite. Sinon, quelques ingrédients classiques, comme la coiffe de Jay, qui provient désormais de chez le fournisseur des Daft (qui livre les arpégiateurs et les drones aussi, on dirait ).
On ne reviendra probablement jamais au combo magique des débuts avec Stuart à la basse et Toby aux claviers, mais c'est tout de même à suivre à mon avis.
Commentaire