Il y a plus 10 ans j’ai joué à un jeu de voitures avec mes enfants, j’adorai ça, et ça m’a aussi posé question ensuite … sur les mécanisme des jeux vidéos.
Quand on est dans SRF (comme dans un jeu vidéo):
- c’est varié
- chaque phase est assez courte (4 à 16 mesures suivant ses choix)
- on peut zapper sur différentes activités (piano, instruments, ensemble, lecture, écoute …)
- on est gratifié quand on réussit (mais je n’ai pas vu de système points, en fait tant mieux)
- il y a des « niveaux », on progresse… vers le Graal !
- on joue, mais c’est un jeu « utile » …(c’est peut être une différence par rapport à certains jeux vidéos)
- on peut paramétrer plein de choses: impression de dominer la machine, mais aussi personnalisation des challenges…
Donc comme le mode de jeu est ludique mais concentré, il y a un petit challenge (sécrétion de noradrénaline), qu’on réussit, on a des « bons points » (sécrétion de dopamine), on en redemande,
et on devient accro, mais pour un but de « progression dans son art ».
ce qui me paraît un but «d’un niveau plus élevé » par rapport à un but de défoulement/divertissement des jeux vidéos habituels.
NB: j'ai écrit aux créateurs de SRF avec des remarques,
je vous dirai s'ils répondent.
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