Ceci dit, c'est une bonne technique pour maintenir la tension du film du fait que les assonances et dissonances, et le manque de reconnaissance d'une armure, créent un sentiment de sons non naturels. Il suffit de regarder la production de Bernard Herrmann, compositeur génial de la plupart des films d'Hitchcock. OK, tout le monde connaît la musique de Psychose et ses ostinati, mais si on regarde le film Tom Curtain, Herrmann utilise 12 flutes pour les 12 tonalités de la technique du dodécaphonisme pour justement retrouver ce côté non naturel.
Une technique qui a fait ses preuves. On y reviendra.
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